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Arthas Menethil, Paladin avant la corruption.

Posté le Dim 22 Sep - 0:06
Arthas Menethil
Arthas Menethil

Fiche de Présentation
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  • Menethil
  • Arthas
  • 19
▬ ft. personnage de: World Of Warcraft

Couleur de peau/fourrue : Peau blanche, cicatrices. Aura lumineuse autours de lui
Taille : 1.90 cm
Corpulence : Taillé dans le muscle.
Cheveux : Blond tirant sur le cendré
Yeux : Bleus, reflets gris tranchants.
Signe(s) distinctif(s) :
Il arbore quelques cicatrices au torse et aux cuisses, dû à un entraînement laborieux.
Il détient un aura étrange, un halo rayonnant, définissant naturellement son appartenance royale et sa dévotion totale pour l'ordre de la lumière.
Elle instaure naturellement une sensation de respect, de quiétude et confiance #Chevalerie.

Caractère



A ce stade de l'histoire, Arthas n'est pas corrompu par Nerzul et par conséquent, n'en est pas le roi-liche.

Il est le jeune prince de 19ans, Naïf, chiant, rebelle et impulsif de Lordaeron.

Pour un inconnu, il apparaît d'abord comme un imposant chevalier de la lumière, un paladin à qui l'on doit le respect. Son aura naturelle de dévotion pour la lumière, qui est également princière, lui donne cette noblesse sans qu'il en ait l'air hautain.
Il sait inspirer la confiance et fera toujours le nécessaire pour aider les autres, il est incroyablement altruiste, généreux et protecteur.
Il est empathique, sait se mettre à la place des autres et par conséquent, ne fait pas aux autres, ce qu'il n'aime pas qu'on lui fasse.
Exception faite pour ses ennemis, mais ça, c'est une toute autre histoire.

Grâce à l’entrainement d'Uther, le porteur de lumière, il a apprit la sagesse, mais a dû l'oublier en cours de route.
Il est du genre à prendre les choses à coeur et en oublie parfois l'impartialité, cela peut lui coûter cher, très cher.

Quand on le connait bien, on peut cependant prendre Arthas pour un grand nounours au coeur d'or.
Bienveillant, il a le sens de l'honneur, de la loyauté et du sacrifice de soit.
Il ne néglige jamais ses amis, tient ses promesses.
Il est un incroyable puits d'énergie et de volonté.

Pour ses ennemis, il est généralement une plaie.
Il est volontaire, déterminé et quand il a une idée en tête, on dit que même un poney peut sembler plus persuasif que lui.
Il est un homme entier, soit il apprécie, soit il n'aime pas, il n'y a pas de juste milieu et on sait à quoi s'en tenir en général.
Parce que quand il vous a dans le collimateur, ça se sait rapidement.
Il est froid, tranchant, impartial.
C'est un bourrin par excellence qui peut s'avérer malgré tout être très très patient si l'enjeu pour lui, en vaut la chandelle, patient et redoutable.

Arthas est le type que personnage "Métal".
En combat, il est très rapide, agressif et est pourvu d'une dextérité pour les épées, les haches et les marteau à en jalonner les plus téméraires.
Mais surtout, il ne pardonne rien.
Il se peut qu'il puisse avoir des remords, mais en tant que prince, il a en tête, l'idée de toujours montrer l'exemple et de ne jamais faillir, afin que d'autres puissent s'inspirer de son courage désarmant.

Histoire


Avant d'être le Roi Liche et d'être corrompu jusqu'à la moelle par l'entité nommée Nerzul, je fus, l'un des puissants si ce n'est des plus nobles, paladin de mon temps.

C'était il n'y a pas si longtemps de cela, je devais être âgé, à s'y méprendre peut-être, de six ans quand on me présenta au prince Varian Wrynn, du royaume de Hurlevent, capitale de notre monde qu'est Azéroth.
Azéroth est une planète issus d'un univers qui lui est propre et assez connu, m'emploirais-je.
Il y a plusieurs continents vivants en ce saint monde et jusqu'à ma naissance, trois seulement, furent découverts alors que plus tard, il en demeurait au moins une dizaine.

Dont le Norfendre, lieu où j'y demeurais seul maître jusqu'à la perte totale de mes capacités humaines.
Continent de glaces, de dragons et bientôt, de liches et de chevaliers de la mort.
Le Norfendre était aussi mystique qu'ils n'en était baigné de magie et de mystères.

Kalimdor, là où nous, les humains, prospérons aux cotés des elfes, de nains et d'autres créatures sereines et moins belliqueuse.
Sous le joug d'une paix menacée par la venus d'étranges créatures vertes, nos anciens ont finis par créer un accord d'armistice salutaire et durable entre chaque race, dans le but de repousser l'envahisseur et protéger les êtres du royaume.
Cet accord se nomma l'Alliance.

Et enfin le royaume de l'Est et à mon époque, nous ne connaissions rien de ce continent étrange et menaçant, si ce n'est que nous appelons les créatures qui la peuplait, majoritairement : « Orcs ».
Ils ont employés une guerre contre notre monde afin d'y faire ployer nombre de genoux sur l'étendue brutale de leur domination malsaine. Venant depuis l'est, l'ennemi avait ouvert un portail créer à partir de magie noire et de sacrifices d'innombrables innocents, permettant la conquête des orcs sur notre terre, Kalimdor.
Je n'ai pas retenus les noms, les générations oublient les noms du mal, mais pas son visage.


A cette époque qu'est la mienne, cette nouvelle génération reprenait le flambeau neuf de l'excavation ardent du roi Lothar Wrynn, assassiné par une amie qui lui eut été proche.
Il eut le malheur d'y connaître l'invasion des orcs et d'avoir eut le courage de les repousser jusqu'à la mort. Qui aurait pu s'y résoudre ?
Aujourd'hui adulte et en pleine possession de mes forces et de mes moyens, prince de Lordaeron promis à un bel avenir en tant que souverain... J'ai conscience et je connais le prix à payer.
 Et je suis prêt à me sacrifier au nom d'une cause au protectorat des innocents.

Je me suis longtemps imaginé cette scène, je l'avoue.
Voir charger un milliers d'Orcs et de trolls barbares, assoiffés de sang vers le portail menant à mon monde, ma capitale.
Lothar se tenait là, devant le portail, seul quand il demanda la destruction de cette porte menant au royaume de l'Est.
Le temps que cela se fasse, il avait suffit d'un soupire de surprise par la sensation glacée d'un poignard dans le dos, d'une trahison dépassée par des larmes salutaires et silencieuses.

Lothar avait donné sa vie afin de ralentir les troupes et permettre la destruction du portail.
Varian m'avait parlé de cette plaie à cœur ouvert et j'avais tendu à lui répéter la même chose à chaque fois, que peut importe si cela était à refaire, lui et moi, princes respectifs, jamais nous ne failliront face à la menace.

Une seule divergence d'opinion remettait en cause parfois son courage démesuré et mon espoir crédule.
Si jamais un jour nous devrions tuer l'ennemi qui frappe à notre porte, lui, finirait par foncer dans le tas, tête baissée et à mourir pour la cause, il est le guerrier auquel, tous aspiraient.
Moi ? … ahah... Je ris déjà d'une voix caverneuse, bordée d'un humour aussi noir que l'encre qui a rédigé mon histoire.
Je me ferais l'ennemi le temps d'une guerre, le temps d'une vengeance. Je saurais me montrer patient dans l'optique de pourfendre ma cible par la larme tourbe et puissante de mon marteau de lumière ! J'emploierai le temps pour provoquer une opportunité et je chasserai ma cible jusqu'à ce qu'elle en exulte ses tripes par rédemption.

Je me rappelle de nombres combats pour lesquels je fus infatigable, la lumière inondant chacune de mes prières tandis que j'offrais l'embrassade depuis la cime mon gourdin sur la joue d'une énième goule.

A sept ans, père tenu parole face à sa discutions avec le prince Varian concernant mon entraînement.
Car père n'eut jamais voulu de moi un quelconque entraînement à l'arme, ni à l'apprentissage de la survie, préférant tout mettre en œuvre stratégiquement pour me protéger plutôt que m'apprendre les bases rudimentaires de la guerre, sur un champs de bataille.

Grâce à mon ami de Hurlevent, le Roi Térénas II demanda à l'un des pères fondateur de l'ordre de la main d'argent, l'ordre des paladins et guides de la lumière, de m'offrir un apprentissage complet sur l'ordre de la lumière et du combat.
Uther Le porteur de lumière était un paladin d'une grâce, d'une noblesse d'âme et d'une exigence telle, qu'il en faisait pâlir la fièvre même à son approche.
Sa foi envers la lumière était aussi épurée qu'elle n'en était jamais remise en question.

Moi ? J'étais un couillon.
Je pensais sans cesse à m'amuser et à me rebeller alors que j'avais, selon ces dires, un potentiel noble et suffisant pour terrasser nos ennemis issus de l'ombre.
Dans un autre future... j'aurais encore rigolé de ces quelques phrases, pas vous ?

Toute ma jeunesse et mon enfance fut basculée entre la naïveté, l'incrédulité et l'arrogance d'une jeunesse impatiente, impulsive et rebelle. Mais également, par le respect des autres, la douleur de la perte des proches, la gloire et la fierté des combats.
Uther me remettait souvent sur le droit chemin en m'offrant la glace, pour mon cerveau chauffé à blanc.
Car à cette époque de guerre contre un ennemi dont on ne connaissait pas le nom, je fus le héros principale de l'histoire, mais également, son plus grand ennemi.

Cette histoire de corruption commençait quand on m'apprit qu'un village voisin, avait un problème de taille : tous les habitants morts revenaient à la vie d'une drôle de façon et se mettaient à attaquer tout ce qui s'opposaient à eux.
J'y suis allé une première fois accompagné de mon amie Jaina, une mage de givre qui n'en était pas non plus revenu.
Trop choqués, nous sommes rentrés annoncer à père la nouvelle, tandis que nous avions vus une cargaison de grains de blés suspect se faire distribuer dans une ville, non loin du royaume.

Le mois passait et de même, suivit de Jaina, nous avons cherchés la provenance des grains qui étaient en fait corrompus par la magie noir d'un démon nommé Malgan'is.
Ce jour là, je jurais sur mon sang, sur mes tripes et sur mon honneur, de buter ce monstre et de lever cette corruption de mon peuple.

Le premier problème étant que, cette deuxième fois, alors que les grains avaient déjà étés distribués et consommés, j'avais essayé, de force, d'usure et débordant d'espoir, de guérir l'un des gardes valeureux de ce lieu devenu insalubre.
Mes mains s'étaient aplatis sur son torse et j'invoquais et priais la lumière qu'elle le guérisse, néanmoins, plutôt que de lui faire régurgiter l'impie, le mort se relevait en spasmes en vomissant son sang sur mon armure de plaque.

Tout était alors à faire, désemparé, j'avais de nouveau fracassé la lourdeur de mon marteau sur la tête du défunt qui n'avait plus rien d'humain.
Je m'étais mis il y a longtemps en tête que si cela devait m'arriver, je préférerais mourir, que plutôt, perdre la tête et ne plus reconnaître les miens et me mettre à les bouffer.
Ouaip... Je préférerais qu'on me tue, plutôt que de perdre tous sens d'honneur et d'humanité.

Après l'arrivé de ces terribles nouvelles, Père Terénas souleva un haut conseil sur lîle flottante des mages, à Dalaran, de façon à connaître un antidote ainsi que la provenance de cette solution exploitée dans le blé. Exploitée, car les humains se servent des récoltes de blés afin de manger du pain, nourriture saine et quotidienne de notre peuple.

Les mois passaient où enfin, on m'avait baptisé Paladin de la lumière, ayant pour frère Tyrion Fordring, dont l'éloge et le rayonnement n'avait pas d'égale, à vrai dire, Uther pouvait même aller se rhabiller !
Tyrion partit pour un continent mystérieux tandis que moi, j'allais de missives en missives, dorer le blason de Lordaeron et en offrant ma piété et ma vertus à mes hommes quelques en soient les contrées.

Jusqu'à ..
Stratholmes.

Une immense ville enfermée dans une cage de murs bétonnées, une ville prospère, avec qui, Uther, Jaina et quelques hommes de la lumières, devions enquêter sur l'impie.
Sur mon étalon immaculé, j'avais reconnu l'odeur âcre et nauséeuse, elle était à vomir et j'aurais reconnu entre milles cette odeur. Jaina avait elle aussi reconnu l'odeur du blé corrompu, mais il était trop tard quand les volutes de fumées verdâtres se dissipaient au-dessus de la ville.

Une seule chose était à faire, puisque le pain était déjà distribué et consommé par mon peuple... une seule chose à faire... pour libérer mes amis du joug de cette folie impie qui allait consommer leur essence, leur vie, leur esprit en les transformant totalement en monstre sans honneur.
Je devais purifier Stratholmes.
Je ne devais pas montrer mes émotions, un prince ne peut pas se permettre de montrer sa sensibilité à ceux qui le suivent, sinon il perd l'autorité et la crédibilité.

Je savais que mon plan était inhumain, fou, désespéré.
Tuer des civils pour qui, l'heure de vie allait s'éteindre en moins de temps qu'il n'en fallait pour qu'ils soient plongés dans un tourment éternel.
Je ne pouvais me convaincre de faire mieux, je choisissais de les purger totalement et de les abattre, tous.
Avant qu'ils ne se transforment et deviennent des monstres, des esclaves de Malgan'is.

Jaina elle, montra ses sentiments en pleurant, fuyant avec Uther contre qui je m'étais emporté, lui qui refusait un tel acte sur des innocents. N'avaient-ils pas seulement compris, que le temps ne ferait plus jamais d'eux, le peuple aimant que j'avais connu?

Mes hommes étaient d'accord avec moi.
La purification de Stratholmes n'était ni une conquête ni un plaisir, c'était simplement une boucherie, non digne d'un prince.
Aussi, quand mon marteau ensanglanté s'abattait sur le dernier enfant de cette cité, mes yeux clairs avaient vus, vifs, un cavalier de la mort fuir.
J'avais crié, l'ayant pris à revers en lui sommant de me dire où se planquait son maître Malgan'is.
Le fourbe mourut dans mes mains en me montrant le ciel, c'est alors que la lumière m'était venu en aide.
Me parcourant d'un nimbe lumineux comme jamais auparavant, la lumière, même après ce massacre ne m'avait pas abandonnée, ma justice était toujours aussi implacable, et plus qu'à n'importe quel autre instant, qu'à ce moment.

Le duel fut difficile, j'étais à bout de force, mes bras tremblaient, ma rage s'épuisait et au comble de ce combat d'infortune, le démon s'échappa en mugissant de le retrouver en Norfendre.
Et c'est ce que je fis, des mois plus tard, je menais une expédition vouée à VENGER MON PEUPLE ! D'innocents, d'hommes et de femmes avec qui j'avais passé mon enfance, ils avaient été trahis et utilisés ! Comme je n'aurais pas aimé être à la place de ce démon quand enfin, je le retrouverai.
J'avais auparavant, mené une quête avec un nain nommé Magni-Barbe-de-Bronze afin de trouver une arme mystérieuse dans ce continent nommé le Norfendre.

Suite à de nombres problèmes, nous l'avions trouvés, cette arme, endormie sous la plus grande tombe des dragons de ce pays : La Désolation des Dragons.
L'arme était large, magnifique, de runes et de gravures: malsaine, recouverte de givre.
Elle berçait dans un écrin de glace noire aux reflets violets... Et alors que Magni m'avait mis en garde :
« Comme la lame tranche la chair,
Le pouvoir balafre l'esprit.
 »


Il était trop tard, J'avais déjà porté une main sur la glace et à peine effleuré, que l'arme se retrouvait férocement dans ma main, envoyant les éclats de glaces vers Magni qui tomba, sans se relever.
Dès lors... Je … Je ne me souviens plus très bien...
Il y eut comme une imposition brutale dans mon subconscient, comme si le démon vivant dans l'épée, était devenu le maître total de mon corps et de mon esprit.

Parfois, il me laissait reprendre mon corps afin d'assouvir mes pulsions vengeresses, nourrissant la noirceur de mon cœur brisé.
C'est ainsi que je viens à bout de Malgan'is.
Car si le combat s'annonçait de nouveau perdu pour moi à cause de mon infériorité raciale, humain contre démon, ma dextérité au combat n'avait d'égal que ma rage de vaincre et ma fureur.
La lame purificatrice de ma rédemption pénétra sa chair dans un hurlement de victoire, annihilant le monstre dans un nuage de fumé d'un noir poussiéreux.
C'est comme si, Deuillegivre m'avait toujours été pré-destinée.

Avant de mourir, le démon m'avait dis qu'il n'avait agit que par Ordre d'un autre, un seigneur de l'effroi.
Un régent parmi d'autres, dominant tous les aspects démoniaques des terres d'Argus, la planète de la corruption.
Le nom de son chef se nommait Tichondrius... Ce que Nerzul, la voix dans l'épée, savait servant le titan Archimonde, effroyable et chaotique.

De nouveau, j'exaspérais à ne plus trouver l'ordre des choses, voyant et octroyant à cette profondeur des événements, une importance grandissante dont je ne pouvais me détourner.
Dont un prince ne saurait se détourner.
J'allais à mon escient, utiliser Nerzul, qu'il me fasse champion de sa lame et me proclame chevalier de la mort, je n'en avait cure.

Mais dès ce moment... alors que mon âme se faisait peu à peu consumer par mes actes d'une noirceur sans pareil, j'en venais à perdre mon humanité.
Je n'étais plus Arthas, dès ce moment où j'avais céder face à la proposition de Nerzul, J'avais cédé, face à son pouvoir dans mon seul but de venger, tuer, mener des hécatombes et détruire la légion de démons.

Pour vaincre les démons, il me fallait une arme plus puissante que le fel, leur feu corrupteur : et javais Deuillegivre.
Elle avait le loisir d'aspirer l'âme des défunts et de les remettre dans des corps qui pouvaient très bien ne pas être le leur.
Elle pouvait également relever les morts, qu'elles qu'en fussent l'état de décomposition et leur attribuer l'un des pouvoir du fléeau, impie, maitrise de givre où du sang.
Elle pouvait, déclencher des cataclysmes de givre, des blizzards effroyable et appeler mon armée depuis l'autre bout d'un continent.
Cette arme était redoutable.
Mais elle n'était pas la mienne, elle était celle du roi-liche, de ce que Nerzul avait fait de moi.

J'avais définitivement perdu l'esprit et le contrôle quand un jour, Nerzul avait été grièvement blessé.
Je ne sus dire en qui, ni pour quoi, il m'avait rappelé à la conscience pour mener un combat contre Illidan Hurlorage, un chasseur de Démon qui comme moi, avait obtenu gain de cause en se voyant offrir le privilège de manier deux larmes redoutables : des glaives de guerres d'Azinoth.

Le combat ébranlait la terre, ouvrait des cratères et faisait vomir des nuages de poussières vaporeuses depuis l'entre du monde.
Nos coups étaient donnés et rendus avec la même puissance, j'étais rapide et avait une dextérité à en faire pâlir de jalousie le plus noble des elfes.
J'avais remporté le combat en le transperçant par le torse, cependant, Nerzul, le maître du roi-liche, cette part devenu mon moi le plus sombre, me rappelait.
Je n'eut pas le loisir d'achever Hurlorage et j'avais accouru dans ma citadelle de glace jusqu'à ce qu'enfin...


Mes genoux me lâchent, je ne comprends pas ce qu'il se passe... Mon passé se trouble, j'ai dû mal à dissocier le concret de l’irréel, je sens mes genoux se briser sur le sol glaciale de ma citadelle des couronnes de glace et mes mains sont détrempées de sang.


Est-ce une illusion ? J'ai l'impression d'être bercé par une pluie diluvienne d'un pourpre éclatant, est-ce du sang qui coule sur moi ?
C'est âpre, ça en a le goût.
Le ciel se zèbre d'éclairs et des nuages obscurcissent ma vision, je lâche Deuillegivre, mes mains tremblent, elles sont rouge et elle se mettent toutes deux sur mes tympans.
Le monde part en couille totale, je suis en Norfendre, dans MA citadelle de glace, sur les escaliers qui me mènent à la cime.


Un mal de crâne robuste se saisit de moi tandis que j'ai l'impression de nouveau, que la lumière m’inonde.
Je ressens tout à coups sa chaleur, son salut, la sérénité qui s'en dégage.
Mais malgré tout, un nuage noir sublime et terrifiant se dresse devant moi, s’amplifiant jusqu'à ne devenir que le reflet d'un souvenir gâché.

Je prends connaissance de la peur qui m'anime et de l'effroi qui sublime mon sang qui vint de se glacer en voyant le visage du mal.
Mes mains se tendent vers deuillegivre, je sais... que je dois tenir... toutes les fibres de mon corps me le disent ! Je dois combattre cette choses dont ne je connais ni la source ni le but.
Son aura est de chaos, de destruction.
Si je ne peux l'arrêter, qui sait ce qu'elle fera à mon royaume ? A mon peuple ?

Je n'ai pas conscience que j'ai tué mon père.
Je n'ai pas conscience que j'ai tué Uther.
Puisque à ce moment, c'était mon subconscient, utilisé par Nerzul, qui avait utilisé mon corps dans le but de le tester.

Je me sens tout à coups soulevé, j'ai un énorme vertige, les murmures de Nerzul me viennent à l'esprit tel un souffle silencieux dont j'arrive à peine à en saisir la nuance.
Soudain, c'est le noir.
Suis-je mort ?

Putain de merde, j'ai encore dû me mettre une sacrée mine hier !
Je me réveille sans comprendre où je suis ni ce que je fout là, en fait, je fronce mes sourcils broussailleux en réfléchissant consciencieusement.
Je me souviens des marches, de Nerzul, de l'épée et de mon histoire, de mon peuple à sauver des griffes des démons et des morts-vivants que je dois purifier.
Puisque, je ne me souviens pas de les avoir menés en tant que chevalier de la mort : Ce n'était pas moi à ce moment.
...
Putain, mais où je suis bordel ?

Pseudonyme
Røger Couscous Merguez
30
J'ai demandé un univers, on m'a dit wow.
Ensuite, pour le challenge, étant donné que je joue tout le temps du Chaotique et du neutre, mon site à décidé que je jouerais BON affinité BON. ( je suis dans une merde noire...)
Par la suite, un chiffre, 1 pour le mâle, 2 femelle, j'ai eue le 1. ( putaiiiin! Je raaage!)
Puis une sélection entre 19 et 70, j'ai eu 69. ( va te faire!) du coups c'est 19 x'D pour l'âge
Pour le reste, la lumière est venue à moi et je l'en gracie.
Posté le Dim 22 Sep - 18:04
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   Passage des puissants


   



Un nouveau héros baigné par la lumière. Mais suffira t-elle à repousser la corruption et la grande menace. Nous verrons...

Nous avons discuter avec toi jeune guerrier, et suite aux questions, que nous avions tu y as répondu et nous avons fais notre choix.

Ainsi Sa'Nok la planète mère sera ton nouveau chez toi...


   

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